Bonjour,
Petit rappel téhorique:
La prohibition de la revente à perte concerne un produit et non un ensemble de produits.
Aussi, cette solution n'est pas envisageable:
Citation :
nous vendons en général plusieurs produits par commande, la vente à perte concerne-t-elle individuellement chacun des produits ? ou porte-t-elle sur la commande dans sa globalité (marge totale effective de la commande)
Il existe toutefois des excéptions à cette prohibition.
Lorsque vous expliquez que le produit disparait du catalogue et qu'il vous reste du stock à écouler, je pense que vous pouvez vous fonder sur lexcéption qui permet de revendre à perte lorsque le produit ne correspond plus à la demande générale en raison de l'évolution de la mode ou du progrès des techniques.
Est-ce le cas de ces produits?
Citation :
cas où nous sommes en rupture de stock et pour satisfaire le client, nous achetons à un fournisseur occasionnel à prix d'achat plus élevé (ce qui peut provoquer la vente à perte en conséquence si px achat > px vente catalogue)
Problème plus délicat cette fois-ci mais qui peut eventuelle être contourné:
Cette revente à perte peut-elle cette fois ci s'analyser comme une façon de s'aligner sur les prix de la concurrence? Si oui, votre surface de vente est-elle inférieure à 1000m2?
Citation :
cas des contrats annuels à prix vente figé, mais évolution non prévisible en cours d'année des prix d'achats
Dans ce cas, en revanche, il va falloir modifier vos pratiques. Le mieux étant d'insérer dans vos contrats une clause de variabilité du prix.
Bien cordialement.