Sans vouloir vous vexer, c'est vous qui complexifiez le problème.
"Au dela du pb relatif au devoir d'information du Comm Priseur et donc d'éventuelles vices du consentement la question est de savoir si la natue même du bien vendu, qui n'a pas vocation à être immobilisé ( ça n'est pas une oeuvre d'art ) n'entrainerait pas de facto la caducité du contrat de location et le transfert de propriété de tous les éléments du véhicule."
La réponse est simple, c'est non. La caducité d'un contrat de location qui n'existe pas ne se pose pas. Quant à dépouiller le propriétaire des batteries de son droit de propriété sans son consentement, c'est tout aussi exclu.
Il n'y a pas de garantie de conformité ni de garantie des vices cachés dans le cadre d'une vente aux enchères judiciaires. Voici les références, qui sont claires et sans équivoques :
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000044142583
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000006442022
Après, si ça vous fait plaisir de croire que vous allez pouvoir vous offrir sans surcoût les batteries en plus de la voiture...
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Modératrice