Merci pour votre réponse (fort rapide) !
Je vais tentez de reformuler vos points pour que vous me confirmiez ma bonne (ou pas) compréhension.
Citation :
le prix de vente doit être partagé au prorata des droits
Citation :
barème économique (plus précis)
Droits définis par l'utilisation du barème fiscal (décidé par le notaire, non débatu ou expliqué) et concordant avec mon calcul ? Il aurait pu être demandé un calcul par le barème économique (et cela aurait été plus avantageux pour les enfants puisque le père est plutôt agé ?).
La vente ayant été faite, le débat est clos je suppose.
Citation :
La gestion catastrophique par l'un ne doit pas empêcher chacun de recevoir sa part du prix.
La personne a une dépendance aux jeu d'argent, et c'était la seule solution trouvée. Nous avions pensé à la curatelle mais cela paraissait compliqué sans le bon-vouloir de la personne de se faire "diagnostiquer".
Et oui, tout le monde se retrouve lésé par la non-disponibilité des liquidités et cela n'arrangeait personne mais s'est fait "pour le bien de" ...
Pouvez-vous me confirmer que votre conclusion est :
- que le contrat oral, stipulant la mise en commun pour l'utilisation d'investissement sur la propriété, reste un contrat valable et engageant.
- L'argent, même mis en commun, reste à chacun ...
- ... mais que personne ne peut récupérer sa "part" à moins de casser ce contrat, avec une raison valable (les cas d'utilisation n'ayant pas été détaillés, les raisons valables sont floues) ?
Ma question la plus importante reste : Le père peut-il faire ce qu'il veut avec l'argent qui est sur SON compte, suivant l'ordre irrévocable signé par les parties ?