Bonjour,
Pas forcément important, mais :
Citation :
Néanmoins, votre question m'a replongé dans l'étude chronologique des faits, et m'aperçois qu'un nouveau mandat aurait été renouvelé le jour de la signature de la deuxième vente, soit le 19 septembre 2019.
Ce qui signifie clairement que la négociation a précédé cette signature. Or, si l'agence ne disposait plus alors de mandat, elle n'était, de ce fait, pas autorisée à négocier ni à amener un potentiel acheteur devant une 'signature'.
Citation :
Le gérant de l'agence a signé, pour son compte, l'acquisition du terrain le 3 décembre 2020, en imaginant que le précédent mandat, du 19 septembre 2019 soit du même type que celui signé en 2016, alors, l'agent immobilier semblait dans son droit de se porter acquéreur du terrain ?
Oui, une fin de contrat claire au 18 septembre 2020 aurait libéré ce gérant pour son acquisition au 3.12.2020.
J'ai relu diverses conséquences de la loi Hoguet, mais tout est en faveur d'une rupture avant terme du mandat, et rien ne traite d'une prolongation potentielle.
Dernier point, les procédures liées au dépôt de CUO ne sont pas immédiates, ce qui pourrait bien dénoncer une manipulation sur une longue période, les 'promesses' signées en 2017/2019 n'étant que de la poudre aux yeux pour faire attendre les vendeurs, en préparant la manipulation par derrière. Il pourrait être intéressant de dater ces opérations.
En complément, la clause du simple refus écrit que vous signalez me parait for louche. Je n'ai pas (encore) vraiment analysé cela, mais il pourrait bien s'agir d'un compromis de complaisance permettant de bloquer toute autre opération pour donner du temps à ce gérant. Une petite enquête pourrait être riche d'enseignements. Faire signer un copain en lui donnant le moyen de se sortir sans mal de cet engagement ... hum hum.