Bonsoir Jok,
J'étais absent en journée.
Citation :
Entendu, il n y a plus qu'à croiser les doigts pour que ça passe du coup et qu ils acceptent la prorogation.
c'est aussi l'intérêt du vendeur que de ne pas vouloir tout recommencer. Je ne pense pas que ce côté pose vraiment problème. Ce qui me gène le plus, c'est si le CM3P vous refuse de prêt. Et la tendance n'est pas favorable, comme vous l'a très bien expliqué Yapasdequoi.
Et une nouvelle fois, si le CM3P refuse le prêt, vous ne pourrez pas faire jouer la condition suspensive, puisque le taux est de 2,1% (donc moins de 5%). La prochaine fois, il faudra faire attention à ce type de clause qui est un vrai piège. Grosso modo, on peut dire que
"Le refus du prêt permet d'annuler le compromis
SAUF SI ...". Et si vous n'analysez pas à fond ce SAUF SI, vous pouvez tomber dans un piège. C'est votre cas ici.
Citation :
Oui j'avais vu pour le notaire, cependant comme il est bien noté, je pensais qu'il serait bien impartial.
Un notaire est impartial par obligation. Mais dans un premier temps, il rédige un compromis pour les gens qui lui ont demandé. Et il y met des clauses qui protègent le vendeur. Après, si l'acheteur ne dit rien, c'est que les clauses lui conviennent. Une nouvelle fois comme l'a dit Yapasdequoi, pas besoin d'aller chercher un avocat spécialisé que vous devrez payer. Prenez votre propre notaire. Après le compromis, il y aura l'acte de vente. Et c'est au moins aussi important que le compromis, ce dernier sera ensuite oublié. Et comme les notaires doivent se partager les honoraires de l'opération, cela ne vous coûtera rien (ou presque).
Citation :
Le compromis a été signé informatiquement et non chez le notaire. Je ne sais pas si cela représente un vice de forme.
Vous avez eu la réponse pour le vice de forme. Il aurait été possible d'analyser le délai de rétraction suite à une signature 'digitale', mais c'est trop tard aussi.